Used to controlling her emotions on the air, Léa Salamé could not hold back her tears this Saturday, March 9. The Corsican singer Patrick Fiori was one of the guests of What a time!, and caused great emotion on the set of the show. The latter has just released a new album entitled The singing is freeand wanted to prepare a nice surprise for the journalist.
He actually announced to him, during the evening: “I have a little surprise for you. It wasn’t planned, you keep it, you don’t keep it [au montage, mais j’avais vraiment envie de ça. Quand je suis arrivé, le producteur m’a parlé de quelque chose pour votre émission et je lui ai soumis une autre idée. J’aimerais vous la partager“, a-t-il livré.
La surprise de Patrick Fiori à Léa Salamé
C’est alors que le chanteur s’est levé et a chanté Mer Hayreníq, l’hymne arménien, avec sa voix puissante et prenante, qui a laissé place à un moment suspendu. La surprise a fonctionné puisque Léa Salamé est restée sans voix, et prise par l’émotion. Les autres invités ont également été cueillis par la prestation de Patrick Fiori, comme le chef Philippe Etchebest, très touché par cette interprétation.
Après cela, le chanteur et ancien coach de The Voice s’est rassis, sous un tonnerre d’applaudissements. Ce qui a laissé le temps à Léa Salamé de se remettre de ses émotions, provoquée par cette surprise des plus symboliques à ses yeux. En effet, la journaliste, tout comme le chanteur, ont des racines arméniennes en commun. Voilà ce qui explique ce beau geste de la part de Patrick Fiori.
Léa Salamé “Je voulais vous remercier, c’est très beau, c’est très fort”
Une fois les applaudissements terminés, la journaliste s’est alors adressée au chanteur : “C’est l’hymne national de l’Arménie que vous avez chanté, merci. Je suis d’origine arménienne, vous le savez, par ma mère, d’origine libanaise par mon père. De sang mêlé, comme on dit. Merci, parce que je pense que vous allez faire plaisir à toute la communauté arménienne, qui est très nombreuse en France. […] I wanted to thank you, it’s very beautiful, it’s very strong“, she told the guest singer.
The journalist talks very little about this part of her life, but has already had the opportunity to talk about her mother, Mary Boghossian, born in Aleppo when her family had fled the Armenian genocide. In the columns of Elle magazine, she declared : “Mom, I owe her my share of sweetness. With my little sister, she taught us to sing, to dance“.
2024-03-10 17:46:01
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