La différence réside dans le soutien financier et institutionnel. Aux États-Unis, le projet est fortement soutenu par le Département de la Défense, avec un contrat plafonné à 950 millions de dollars. En revanche, en Europe, il y a une certaine frilosité à l’égard de tels projets, en partie en raison de ressources financières moins importantes et d’interrogations sur le bien-fondé d’un tel programme. Cependant, il est souligné que l’avion hypersonique intéressera à la fois le secteur civil et militaire, et qu’il pourrait être utilisé à des fins de défense. Malgré les défis, il est souligné qu’il n’y a pas de difficultés insurmontables et des discussions sont déjà en cours pour des projets pilotes en hydrogène.de dollars pour un projet qui veut mettre New York à 1h30 de Paris
Le projet Destinus vise à développer un avion hypersonique capable de relier New York à Paris en seulement 1h30. Ce projet est soutenu par le DOD (U.S. Department of Defense) avec un contrat plafonné à 950 millions de dollars. Cependant, en Europe, il y a une certaine frilosité à l’égard de ce type de projets, notamment en raison de ressources financières moins importantes. Jean-Philippe Girault, un des porteurs du projet, est convaincu que l’avion hypersonique intéressera à la fois le civil et les militaires, et qu’il pourra être utilisé à des fins de double usage. Il souligne également que des discussions sont déjà en cours avec des aéroports dans le monde, notamment au Canada, pour mettre en place des projets pilotes en hydrogène.Il semble que le projet de développement d’un avion hypersonique soit plus soutenu aux États-Unis qu’en Europe, notamment en France. Le DOD (U.S. Department of Defense) a déjà passé un contrat plafonné à 950 millions de dollars pour ce projet, ce qui montre un fort soutien financier et institutionnel. En revanche, en Europe, il y a une certaine frilosité à l’égard de tels projets, peut-être en raison de ressources financières limitées et de questions sur le bien-fondé d’un tel programme. Cependant, le directeur du projet est convaincu que l’avion hypersonique intéressera à la fois le secteur civil et militaire, et qu’il pourrait avoir un usage double. Il souligne également que des discussions sont en cours avec des aéroports dans le monde, y compris au Canada, pour mettre en place des projets pilotes en hydrogène.La principale différence réside dans le niveau de soutien financier et institutionnel pour le projet. Aux États-Unis, le projet est fortement soutenu par le Département de la Défense, avec un contrat plafonné à 950 millions de dollars. En revanche, en Europe, notamment en France, il y a une certaine frilosité à l’égard de tels projets, en raison de ressources financières moins importantes et d’une certaine réticence à s’engager dans des programmes de cette envergure. Cependant, le responsable du projet est convaincu que l’intérêt pour un avion hypersonique, à la fois civil et militaire, finira par se concrétiser, et que des projets pilotes en hydrogène pourraient être mis en place dès à présent.La principale différence réside dans le niveau de soutien financier et institutionnel. Aux États-Unis, le projet est fortement soutenu par le Département de la Défense, avec un contrat plafonné à 950 millions de dollars. En revanche, en Europe, il y a une certaine frilosité à l’égard de ce type de projets, en raison notamment de ressources financières moins importantes et d’interrogations sur le bien-fondé d’un tel programme. Cependant, il est souligné que l’avion hypersonique intéressera à la fois le secteur civil et militaire, et qu’il pourrait être utilisé à des fins de défense. En outre, des discussions sont en cours avec des aéroports et des partenaires internationaux pour mettre en place des projets pilotes en hydrogène.it pas être utilisé pour des vols commerciaux.La principale différence réside dans le niveau de soutien financier et institutionnel. Aux États-Unis, le projet est fortement soutenu par le Département de la Défense, avec un contrat plafonné à 950 millions de dollars. En revanche, en Europe, notamment en France, il y a une certaine frilosité à l’égard de tels projets. Les ressources financières ne sont pas les mêmes et il n’y a pas encore de déclic pour lancer un programme similaire. Cependant, Jean-Philippe Girault est convaincu que l’intérêt pour un avion hypersonique, à la fois civil et militaire, finira par se concrétiser. Il souligne également que des discussions sont en cours avec des aéroports et des partenaires internationaux pour mettre en place des projets pilotes en hydrogène, une technologie clé pour le projet.Il semble que le projet de développement d’un avion hypersonique en Europe soit freiné par une certaine frilosité des autorités et un manque de ressources financières par rapport aux États-Unis. Cependant, Jean-Philippe Girault reste convaincu que ce type d’avion intéressera à la fois le secteur civil et militaire, et qu’il sera double usage. Il souligne également que des discussions sont déjà en cours avec des aéroports dans le monde, notamment au Canada, pour mettre en place des projets pilotes en hydrogène. Il précise que la méthode utilisée pour la production de l’hydrogène vert est celle de l’électrolyse de l’eau, qui permet une production exempte d’émissions de gaz à effet de serre.