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The Trial of the Rue Copernic Bombing Begins: Exploring the Investigation and Suspects of the 42-Year-Old Case

The Trial of the Copernic Street Bombing Begins 42 Years Later

The trial for the​ bombing of Copernic ‍Street ‍opens this Monday in the absence of its main accused, who is being tried for four murders, attempted murders, and aggravated destruction in relation to a terrorist enterprise. ⁤Hassan Diab has decided to stay in Canada. Let’s take‍ a look back at‍ this extraordinary investigation that lasted over ‍42 years.

On ‌October 3, 1980, at 6:35 pm, a powerful explosion rocked Copernic Street in the 16th arrondissement of Paris. The blast was so strong that the windows of five buildings shattered, and ⁣several cars caught fire and were thrown onto the road.

Amidst the chaos, four lifeless bodies lay on the ground. Among them was Philippe Bouissou, 22 years old. The young man was riding his motorcycle on Copernic Street to visit his fiancée. In the wrong place​ at the wrong time, Israeli ⁣journalist Aliza ‍Shagrir, 42 years old, was on vacation in France and was strolling ⁤in the⁤ neighborhood with her son before​ heading to a dinner.⁤ Jean Michel Barbé, 41 years old, a chauffeur•
⁢ ⁢ ​ © POLICE JUDICIAIRE
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Le 13 novembre 2008, soit 28 ans après l’attentat, Hassan Diab est arrêté à Ottawa, au Canada, en vertu d’un mandat ⁤d’arrêt international émis⁤ par la⁤ France. Le 6 novembre⁣ 2014, la Cour d’appel de Paris ordonne son extradition vers la France. Mais le 12 janvier 2018, après plus de trois ans de détention provisoire, la Cour de ‌cassation annule cette décision ⁣et ordonne la remise en liberté de Hassan Diab, faute de preuves suffisantes.

Le ⁤procès ​de l’attentat ⁤de la rue Copernic s’ouvre ⁢finalement​ ce lundi 19 avril 2021 devant la cour d’assises ‌spéciale​ de Paris. Mais Hassan Diab, principal accusé, ne sera pas présent. Il a choisi de rester au Canada, où⁢ il est devenu citoyen ⁢et où il mène ​une vie normale⁣ depuis sa libération.‍ Les familles des victimes, elles, attendent depuis plus de 40 ans que justice soit rendue.

Cette enquête horsThe Trial of the Copernic Street Bombing Begins 42 Years Later

The trial for the Copernic Street bombing opened this Monday in the absence of its main accused, who is being tried for four murders, attempted murders, and aggravated destruction in‍ relation to a ⁣terrorist enterprise. Hassan‍ Diab has decided to‌ stay in‌ Canada. Let’s take a look back‍ at this extraordinary investigation ‌that lasted over⁣ 42 years.

On October 3, 1980, at 6:35 pm, a ‌powerful explosion rocked Copernic Street in the 16th arrondissement⁣ of​ Paris. The blast was so strong that the windows⁣ of five ⁢buildings shattered, and several cars ⁢caught⁢ fire and were thrown onto the road.

Amidst​ the chaos, four lifeless bodies lay ⁢on ⁢the ground. Among them was Philippe Bouissou, 22 years old.‍ The young​ man was riding his motorcycle on Copernic Street ⁢to visit his fiancée. In‍ the wrong place at the wrong time, Israeli journalist Aliza Shagrir, 42 years old, was on vacation in France ‍and ‍was⁣ walking in the neighborhood with her⁢ son before going to dinner. Jean Michel Barbé, 41 years old, a chauffeur, was waiting in front of⁣ the synagogue for ‌the family he worked for. ⁣Hilario Lopez-Fernandez, the concierge of​ a nearby hotel, was seriously injured and succumbed to his injuries two ⁣days later.

Inside the synagogue of the Union Libérale Israélite ⁣de France, the scene was equally devastating. The ‌explosion caused the dome to collapse, and shards of‍ glass and burnt iron fell on the 320 worshipers gathered on the eve of‌ Shabbat. Forty-six injuries were reported, but the toll could have been even higher. The bomb, ‍made up of⁣ 10 kilograms of pentrite and placed in saddlebags⁢ on a motorcycle parked in front of the place
detail photograph

Comment une enquête sur l’attentat de la rue ⁢Copernic a-t-elle pu ‌durer plus de 42 ans avant de finalement aboutir à un procès

Le procès‍ de l’attentat de la rue Copernic débute 42 ans ⁣plus tard

Le procès de l’attentat de la rue Copernic s’ouvre ce lundi, en l’absence de son principal accusé ‌qui‍ est jugé pour quatre meurtres, tentatives de meurtre et destruction aggravée en​ relation avec une entreprise terroriste. Hassan Diab a décidé‍ de rester au Canada. Revenons sur cette‌ enquête extraordinaire‌ qui a duré plus de 42 ans.

Le 3 octobre 1980, à‌ 18h35,​ une explosion puissante a ​secoué la rue Copernic dans le 16e arrondissement de Paris. L’explosion⁤ était si forte que les vitres de ‍cinq immeubles ont éclaté et plusieurs voitures ont pris feu et⁢ ont été jetées sur la route.

Au milieu du chaos, quatre corps sans vie gisaient sur le ‍sol. Parmi eux se trouvait Philippe Bouissou, âgé de 22 ans. Le ​jeune homme conduisait sa moto sur la rue Copernic pour rendre visite à sa ‌fiancée. Au⁣ mauvais endroit au ‌mauvais moment, la journaliste israélienne Aliza Shagrir, âgée de 42 ans, était en vacances en France et se promenait dans le quartier avec son fils avant de se⁣ rendre à un dîner. Jean Michel Barbé, âgé de 41 ans,‌ chauffeur de taxi, était également parmi les victimes.

Après l’attentat, ⁢une longue enquête a suivi. En novembre 2008, soit 28 ans après l’attentat, ⁢Hassan Diab a été arrêté à Ottawa, au Canada, en ⁤vertu d’un mandat d’arrêt international émis par la France. En novembre 2014, la Cour d’appel de ⁢Paris ⁣a ordonné son extradition vers la France. Cependant, en janvier 2018, après plus de trois ans de⁢ détention provisoire, la Cour de cassation a annulé cette décision et a ordonné la⁢ remise en liberté de Hassan Diab faute de preuves suffisantes.

Le procès de l’attentat de la rue Copernic s’ouvre finalement ce lundi 19 avril 2021 devant la cour d’assises spéciale de ​Paris. Cependant, Hassan Diab, principal accusé,⁤ ne sera pas présent. Il a choisi de rester au⁤ Canada, où il est devenu citoyen et mène une vie normale.

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